Mon choix est tout d'abord lié a une certaine sensibilité envers ces athlètes : j'ai beaucoup de respect pour ceux qui, comme eux, ont la force de pratiquer une activité physique en fauteuil roulant. Je me suis toujours posé la question de savoir si je j'aurais le courage de continuer le tennis en fauteuil si j'avais un accident. Le tennis n'est pas la plus facile des activités en fauteuil en plus, car la coordination entre les déplacements et les trajectoires de balle est très difficile à acquérir. Ces personnes imposent le respect et nous invitent à rester humbles face à nos petites difficultés. J'étais déjà très touchée par leur courage avant d'en rencontrer, et le fait d'avoir discuté avec eux de la passion qui nous anime n'a fait que conforter ma pensée.
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