Puéricultrice, école maternelle, récréation, punitions
Ce lundi 21 janvier 2013, cinq élèves étaient présents. Ces bénéficiaires sont des enfants de première maternelle qui ont entre deux ans et demi et trois ans, deux d'entre eux commencent leur premier jour d'école ce lundi.
Ce matin-là, je les acceuillais pour la première fois, ils ne me connaissaient pas et je ne les connaissais pas.
[...] Ils 'o t do edo la ai et ous ous so es di ig s ve s le préau des dîners complets. Une fois sous ce préau, les enfants se sont tous mis à pleu e , a l'e vi o e e t tait plei d'e fa ts e it s et u a ts ui ou aie t da s tous les se et u'ils ' taie t ja ais ve us i i ava t ave oi. [...]
[...] Ils ont immédiatement commencé à manger leur dîner. Une dizaine de minutes après, ils ont eu te i , je leu ai de a d de s'essu e la ou he ave leu se viette, de a ge leu oîte à tartines et de revenir à table pour que je puisse leu di e d'alle joue . Le but de ma prise en charge était que tout le monde mange correctement son dîner, de un pour que les parents retrouvent une boîte à tartine vide et de deux pour la croissance des enfants. [...]
[...] Mon rôle était de faire en sorte que les enfants se se te t ie , u'ils se t ouve t u e pla e à l' ole, je devais les assu e , e e temps dire que papa- a a evie d o t l'ap s-midi et leur dire que pendant ce te ps là, ils vo t app e d e plei de hoses ave oi et l'i stitut i e. Le jou d'ap les élèves étaient encore timides et hésitaient à venir en classe. Maintenant, les ouveau l ves e l ve t d'eu -même leurs vestes, sortent les jeux et disent « à plus tard » à leu pa e ts sa s pleu e . Je devais aussi leu fai e o p e d e u'à l' ole, il faut aussi faire comme à la maison, et ranger les jouets après utilisation, etc . [...]
[...] Tous les enfants avaient entre 2 ans et demi et trois ans et demi et sont tous en maternelle et je ' tais pas la seule pou su veille , la pu i ult i e de l' ole tait là aussi. J' tais do e t ai de su veille u e atio . Pe da t ette atio , j'ai souve t du p te au l ves u'ils e pouvaie t pas o te su les lits de sieste empilés, leur demander de descendre des appuis de fenêtre et de se relever car beaucoup aiment traîner par terre. [...]
[...] Je devais aussi v ifie u'ils soie t assez is e o fia e pour suivre le personnel qui les amène au repas chaud. Mon rôle était de les accompagner au bon endroit mais surtout de les rassurer, car une fois que je les avait conduits et que le personnel du repas chaud était arrivé, je devais partir pour surveiller les élèves du dîner tartine. La première et deuxième fois, un élève a pleuré, et puis il est pa ti s'a use ave les aut es. [...]
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