Il n'existe pas que la communication verbale, il y a aussi la communication non verbale. J'ai d'ailleurs remarqué que j'avais plus de facilité à l'utiliser. Par exemple, lorsque j'observe un enfant inconfortable, qui se raidit dans son lit, je lui prends spontanément la main pour le rassurer. Avec les enfants plus jeunes, comme Fatin (qui a 6 mois), je les contiens physiquement en les enveloppant avec mes mains.
J'utilise le toucher pour rassurer les enfants, d'une manière douce, car la toilette est un moment difficile pour un patient sédaté : il est mobilisé, lavé, retourné, maintenu par les soignantes, d'où l'intérêt d'un toucher adapté.
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