Désireuse d'évoluer professionnellement et de prendre de nouvelles responsabilités, je prépare actuellement le diplôme de secrétaire médicale au CNED.
Mes études et mes expériences professionnelles m'ont toujours donné l'envie d'aller plus loin dans l'acquisition des connaissances.
Pour ce faire, j'ai choisi d'intégrer cette formation, pour parfaire mes connaissances dans les matières médicales : la biologie, le langage médical, mais aussi pour approfondir mes bases en informatique tels que la vitesse de frappe, les logiciels de traitement de texte..
Par ailleurs, j'ai choisi d'intégrer personnellement cette formation, car elle correspond à mes aspirations professionnelles. En effet, je souhaite progresser en terme de carrière.
De plus, ce cursus offre un double avantage, c'est-à-dire acquérir des connaissances professionnelles, en validant un diplôme reconnu.
Le métier de secrétaire médicale m'attire à la fois, pour ses compétences techniques dans la gestion des rendez-vous, la dactylographie de courrier d'hospitalisation sur des logiciels médicaux, mais aussi pour ses aptitudes relationnelles, en collaborant avec les équipes de travail, mais surtout en accueillant les malades, qui sont les principaux acteurs du monde hospitalier (...)
[...] Néanmoins, les contacts entre les professionnels de santé et les patients ne sont pas fondés sur les mêmes principes, afin de ne pas transgresser le secret professionnel. Cependant les rapports humains ne sont pas si faciles à établir. Quel comportement à adopter face à une personne âgée pleurant dans sa chambre, car elle est totalement perdue ? L'attitude à choisir apparait moins évidente et la notion de contact est plus compliquée. Dans ce cas, la neutralité de la secrétaire est importante, car il est nécessaire de ne pas porter de jugement. [...]
[...] Par ce biais, j'ai mis en avant mon sens de l'initiative. En cas d'absence momentanée de la secrétaire, j'ai pris les communications de secrétariat. A l'arrivée le matin dans le service, j'ai su faire preuve d'autonomie en ouvrant le secrétariat. J'ai toujours su me rendre utile, en proposant mon aide. Par ce biais, j'ai mis en avant mon sens de l'initiative. En cas d'absence momentanée de la secrétaire, j'ai pris les communications de secrétariat. Le mouvement journalier et la dactylographie des lettres d'hospitalisation m'ont apporté une méthode de travail dans les tâches d'une secrétaire médicale, qui me servent maintenant de compétences professionnelles. [...]
[...] Réciproquement, cette période de stage a favorisé un échange d'informations. A mon tour, j'ai contribué à faire connaître ma formation auprès du personnel, ce qui suscité leur désir de valider un acquis professionnel. De même, j'ai mis à profit les enseignements que j'ai bénéficiés tout au long de mon cursus, notamment dans l'élaboration d'un thésaurus de terminologie médicale, qui leur a apporté une aide précieuse dans la codification de données pour le PMSI. - 43 - De plus, j'ai participé à la réactualisation de documents administratifs. [...]
[...] Pour cela, on dispose de deux méthodes : La première méthode fait appel à l'informatique en interrogeant le logiciel C page. On note la date d'entrée la plus récente. La seconde méthode s'effectue de manière manuelle par le biais de fiches cartonnées, qui se trouvent dans la salle des soins. Ces fiches sont répertoriées par ordre alphabétique. Elles sont plus anciennes que le logiciel CPage, car elle retrace le passage des usagers avant l'informatisation dans l'Hôpital. Elles indiquent le nom, prénom, date de naissance, adresse, et le numéro de téléphone du patient, le nom du médecin traitant, les dates d'entrée et les dates de sortie ainsi que le numéro de dossier. [...]
[...] Elle peut se servir du correcteur d'orthographe installé dans tout logiciel informatique. Une fois le courrier tapé, il est indispensable de refaire une écoute attentive pour éviter l'oubli de certains mots et de bien s'assurer des chiffres des bilans biologiques. La lettre de sortie est imprimée en deux exemplaires qui rejoindront le parapheur. Lorsque les corrections nécessaires sont apportées par l'interne, celui-ci appose sa signature. Puis, la lettre est contresignée par le médecin. Un exemplaire du courrier sera transmis au médecin traitant, et l'autre exemplaire sera conservé dans le dossier médical. [...]
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