La formation infirmière vise à la construction d'un processus d'identification professionnelle. En effet, la formation de base en soins infirmiers ne nous demande pas seulement d'acquérir des connaissances et des compétences, mais nous devons également bâtir un processus d'identification professionnelle qui se poursuivra durant notre carrière. Nos différents stages nous permettent d'être en contact avec des professionnels qui sont pour nous au début des « modèles » à qui l'on veut ressembler, et qui nous permettent par la suite de nous différencier en confrontant leur façon d'être et d'agir avec nos valeurs, notre conception et nos connaissances du rôle infirmier.
Mon mémoire s'inscrit dans ce processus d'identification, puisqu'il traite du rôle de l'infirmière. Un de ses objectifs est donc de m'aider dans cette construction puisque c'est le prolongement des interrogations que j'ai pu avoir depuis le début de ma formation. Ce thème de l'identité professionnelle se révèle d'autant plus important que je suis en fin de formation et que ma carrière professionnelle va débuter dans quelques mois.
Par ailleurs, si j'ai choisi de parler de l'infirmière au sein d'un établissement médico-social, c'est parce qu'on a surtout l'habitude de l'évoquer dans le milieu sanitaire où ses fonctions et son rôle sont clairement définis. En effet, lors de nos différents stages et lors de nos études, nous avons largement observé et évoqué sa place en milieu hospitalier. J'ai donc souhaité présenter le rôle et les fonctions de l'infirmière dans un milieu différent de celui qui nous est familier (...)
[...] Vers une nouvelle étape L'exigence de la qualité au service du handicap mentale (Plaquette d'information ADAPEI Loire). Cf. ANNEXE 4 : circulaire n°62 du 28 Décembre 1978 relative aux modalités d'application de l'article 46 de la loi n°75-534 du 30 Juin 1975 d'orientation en faveur des personnes handicapées, non parue au journal officiel. Cf. ANNEXE 4 : circulaire n°62 du 28 Décembre 1978 relative aux modalités d'application de l'article 46 de la loi n°75-534 du 30 Juin 1975 d'orientation en faveur des personnes handicapées, non parue au journal officiel, chapitre VII. [...]
[...] G.). La déficience mentale, un défi pour le soignant Revue de l'Infirmière Février 1996, p STAMBUL (Béatrice). Une belle histoire Santé mentale Novembre 2000, p.55. PAPANICOLAOU (Dr. G.). La déficience mentale, un défi pour le soignant Revue de l'Infirmière Février 1996, p Cf. Grille d'analyse des entretiens thème Rôle de conseil des équipes, responsabilité hiérarchiques Cf. [...]
[...] Beaucoup de relationnel, énormément d'écoute, d'observation. Un travail d'analyse important. Accepter de travailler sur du long terme, ce qui n'est pas toujours évident au début : dans ce type d'établissement, il faut avoir de la patience, il faut avoir tout un tas des connaissances autour du résident pour arriver à avancer de façon concrète. On travaille aussi très souvent dans l'hypothèse puisque la communication est très souvent non verbale, donc on émet des hypothèses, on les contrôle, on voit si on est dans le juste ou pas Et par rapport aux professions éducatives ? [...]
[...] Aucun traitement n'est entrepris s'il n'a été prescrit par un des médecins attachés à l'établissement ou par un médecin appelé en consultation. Article 12 Tout établissement comporte un service social confié à un assistant de service social. Article 13 L'établissement s'assure le concours d'une équipe pédagogique et éducative comprenant, selon l'âge et le besoin des enfants : - des enseignants assurant la formation scolaire et professionnelle des enfants ou adolescents par des actions pédagogiques adaptées et dont la rémunération est prise en charge par l'Etat dans le cadre de l'application de l'article 5 de la loi 75-534 du 30 juin 1975. [...]
[...] Je vais tenter de l'esquisser à partir des observations que j'ai faites lors de mon stage à la MAS de Saint Jean-Bonnefonds : - Retard psychomoteur : démarche raide, mouvements du corps difficilement contrôlables. - Les résidents déambulent, courent dans les couloirs (incapables de repos et de détente), ou au contraire, ils restent sur place (sur un fauteuil, par terre ou encore debout) en se balançant, absorbés et envahis par leur monde intérieur. - Déficit partiel voire le plus souvent total au niveau de la langue. [...]
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