La clinique de Chartreuse a été créée en 1968 à l'initiative des docteurs TARDIEU et BAZIN. Cette clinique se situe 10 rue Docteur Buterlin à Voiron. Une clinique est un centre d'hospitalisation privé.
La clinique de Chartreuse est accréditée par l'Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé depuis décembre 2001.
Cette clinique est une clinique principalement chirurgicale qui compte 40 lits de chirurgie et 20 lits de médecine. Il y a aussi 10 lits de chirurgie ambulatoire. Le plateau technique se compose de :
- 6 salles d'opération dont une réservée à la chirurgie osseuse.
- 1 salle de réveil pour la surveillance postopératoire immédiate.
- 2 salles d'endoscopie.
- 2 salles de radiologie : une conventionnelle et une numérique.
- 1 salle d'échographie et de mammographie.
- 3 salles de soins externes et d'accueil d'urgences.
[...] Quand celle-ci est achevée, le médecin l'analyse alors au microscope. Il rendit alors un compte-rendu détaillé au chirurgien. Cependant, le médecin anatomo- pathologiste préféra prendre la lame et l'examiner plus en profondeur dans son cabinet. Ensuite je suis redescendu au service de radiologie pour une matinée assez chargée en rendez-vous. En tout personnes ont été radiographiées cette matinée. Mercredi après midi : Par la suite, une patiente est venue à la clinique pour une ponction de sein. Comme le patient de ce matin-là, ses prélèvements seront envoyés en laboratoire pour des analyses microscopiques. [...]
[...] Pour la coloscopie, c'est un peu différent. Le médecin demande une coloscopie quand, pour la majorité des patients, ceux-ci présentent le symptôme des hémorroïdes ou une perte de poids très rapide et anormale. Le médecin recherche dans le dernier parti du système digestif, c'est à dire du début du colon jusqu'à l'anus, des polypes ou des lésions sur les muqueuses. Un polype est une tumeur se développant sur les muqueuses par un pédicule plus ou moins long. Certains polypes ne dégénèrent jamais en cancer ; d'autres dégénèrent toujours en cancer du côlon. [...]
[...] Il existe deux sortes de lavage de mains. Il y a le lavage de main chirurgicale et le lavage de main hygiénique, l'un est plus désinfectant que l'autre. Ce lavage des mains permanent permet d'éviter les infections nosocomiales (qui se transmettent à l'intérieur des centres hospitaliers). Le service des urgences se trouve tout proche du service de radiologie. Cela s'explique par la nécessité de réaliser des examens de radiologie aux patients qui sont aux urgences pour, le plus souvent diagnostiquer des fractures. [...]
[...] Alors, ils émettent des signaux que la machine capte. L'IRM met en évidence de façon plus fine et plus précoce les éventuelles tumeurs ou des lésions. Ce système a pour but d'obtenir des images de tous les organes, sur tous les angles. Cet appareil fonctionne au moyen d'un aimant et d'ondes radio pour produire des images des organes et des tissus de l'organisme. Comme l'IRM est plus complexe que les autres formes de radiologie, le médecin radiologue reçoit une spécialisation pour interpréter les IRM. [...]
[...] Une salle de réveil est indispensable pour la surveillance postopératoire immédiate. Une tenue pour y accéder est obligatoire. C'est un pyjama de bloc opératoire. Le plus souvent il est de couleur bleu ciel comme cette photo de moi cette photo ci-dessous : La propreté du bloc opératoire est cruciale pour la santé des patients. De nombreuses désinfections y sont effectuées plusieurs fois par jour. Un service de stérilisation des instruments est juxtaposé au bloc opératoire pour enlever toutes les bactéries qui seraient susceptibles de contaminer les patients. [...]
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