L'Amérique du Sud est un continent fascinant, autant d'un point de vue culturel qu'environnemental. En effet, son passé, ses richesses et ses diverses colonisations lui ont permis à la fois de garder sa culture mais également de s'ouvrir au monde extérieur.
J'ai toujours eu un penchant pour l'Amérique Latine car c'est un continent très diversifié mais tellement riche au niveau culturel, biologique que je souhaitais découvrir les richesses de l'Equateur, un pays encore peu médiatisé et peu connu mais qui possède une culture bien spécifique grâce aux diverses communautés qui ont réussi à survivre et à perdurer. De plus, le pays a été l'un des premiers à être reconnu par l'UNESCO pour ses différents patrimoines de l'humanité. C'est pourquoi je me suis intéressé au fait de comment un pays en développement peut améliorer son économie, de part ses richesses, tout en préservant sa biodiversité.
L'Equateur est un pays très riche au niveau de l'agriculture mais également de la pêche ou de la culture des fleurs. Le pays se situe parmi les premiers exportateurs mondiaux des produits cités au préalable. Il ne faut oublier que parmi ses richesses, une richesse perdure et est très importe pour la communauté internationale ; le pétrole. Malheureusement, en quelques années, notamment vers 1960, le géant du pétrole Texaco, maintenant nommé Chevron, est arrivée en Equateur afin de profiter des richesses naturelles de « l'or noir ». Lorsque ce géant est arrivé, il s'est installé en Amazonie et a construit des bâtiments, des maisons, des routes… afin de mener à bien l'exploitation de pétrole qu'il a pu trouver. Mais depuis 1972, c'est une déforestation, une destruction des peuples et une pollution aux hydrocarbures qui c'est propagé et dont a découlé la phrase « Texaco Toxico » crié dans toute l'Amazonie Equatorienne. En effet, pendant trente ans, cette forêt vierge et intacte a été polluée par les géants du pétrole qui ont déversé plus de soixante dix milliards de résidus dans les fleuves Amazoniens. Ceci fut un réel désastre et cela a ravagé de nombreux peuples et communautés qui ont d'abord été rejeté de leurs communautés afin d'en installer les installations, mais c'est surtout quelques années plus tard que les premiers effets se sont fait ressentir. Les divers peuples ont commencé à ressentir des cancers, des fausses-couches ou des malformations… Ainsi, on constate bien que les exploitations pétrolières sont vraiment destructrices aussi bien pour la nature que pour l'homme car l'argent est la seule pensée des grandes entreprises pétrolières. C'est pourquoi, après maintes années de réflexion, le gouvernement a enfin pris une bonne décision, qui on l'espère portera ses fruits et permettra aux pays riches d'ouvrir les yeux. En effet, après avoir rencontré se nouveau puits de pétrole dans un des parcs les plus riches en biodiversité : le Parc Yasuni, le président Equatorien, Raphael Correa a décidé d'en empêcher l'extraction. Afin que cela se réalise il a mit en place le projet Yasuni ITT qui permet de récolter des fonds de par les pays développés et protéger les réserves biologiques et les peuples Amazoniens.
Référence bibliographique
Format APA en un clicLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture