Dans le cadre de la formation IESEG, il nous est nécessaire d'effectuer un stage professionnel à la fin de chaque année universitaire en commençant par un stage ouvrier de 1 à 2 mois jusqu'au stage de fin d'études de 6 mois, ou stage « cadre », en passant par le stage « commercial » et le stage « opérationnel ». Arrivant à la fin de ma formation IESEG, je me devais d'effectuer mon stage de fin d'études de 6 mois ; dans une optique de mettre en pratique nos connaissances acquises durant les 4 années de formation, ce stage est un tenant important de notre formation professionnelle et a pour vocation de compléter notre cursus académique de grade Master.
Ce stage est donc le quatrième que j'ai effectué après avoir travaillé comme manoeuvre dans une usine de peinture industrielle, puis comme conseiller à la vente l'année suivante et enfin comme conseiller en stratégie financière lors de mon stage de troisième année. Ce stage est également le stage d'ouverture de notre carrière professionnelle post IESEG. C'est en effet un stage long et centré sur la spécialité de notre diplôme. En vu de mon orientation future, j'ai donc décidé d'effectuer un stage dans un cabinet d'Audit, ce qui m'a permis de mettre à profit ma formation en Audit-Finance, pôle d'enseignement de mon Master (...)
[...] » Il existe en effet plusieurs types d'audit, dans plusieurs secteurs d'activités tels que la sécurité du travail, l'environnement ou encore l'hygiène et la sécurité alimentaire ; en ce qui concerne l'audit comptable et financier, il s'agit de « contrôler la validité des Etats Financiers émis par une entreprise ». Aussi il est important de distinguer l'audit interne de l'audit externe. Le premier est réalisé par des contrôleurs, ou auditeurs, propres à l'entreprise, ce sont des salariés de l'entreprise en charge de vérifier sa santé financière, le bon fonctionnement ou la validité des politiques financières de l'entreprise, la qualité de l'information circulante au sein de celle-ci et aux actionnaires et de favoriser le maintien ou l'amélioration des performances. [...]
[...] L'audit légal est une nécessité pour chaque entreprise pour maintenir une santé et une fiabilité économique. L'audit contractuel intervient sur la demande explicite d'une entreprise dans un souci de management et contrôle d'une vue extérieure ou sur la demande d'actionnaires d'entreprise pour vérifier la santé et le bon fonctionnement de leurs placements. Deloitte va loin dans l'écoute de ses clients et plus loin encore dans la réponse aux attentes de ses clients. L'entreprise est attentive aux besoins de ses clients et à ses implications économiques, et adapte son approche de façon systématique en fonction des 5 particularités de ceux-ci. [...]
[...] Aussi ces tests sont 11 effectués en première partie d'audit pour atténuer la charge de travail pendant la période allant de Janvier à Avril, période intense d'audit légal, ou plus communément appelée « busy period » dans l'entreprise Deloitte. Chaque mission était différente car chaque client était différent. Je faisais partie du group 2 d'audit, ou groupe « fonds d'investissements » comme expliqué précédemment ; je travaillais donc sur des clients de secteurs d'activité similaires, de structures financières très semblables mais chacun avait sa particularité ou au moins une tendance différente des autres. [...]
[...] En effet, chaque étage correspondait à un département de l'entreprise Deloitte. Le service d'audit se trouver au deuxième étage ; chaque groupe d'audit ensuite était indépendant des autres mais totalement ouvert sur lui-même. Le « pool » de travail que l'on occupait dans le groupe 2 d'audit, ou groupe « fonds d'investissement », était un « open space » dans lequel tous les auditeurs travaillaient ensemble, aucun auditeur ni même le senior manager auditor ne possédait son propre bureau ; nous étions tous ensemble pour un travail d'équipe. [...]
[...] Chaque employé de l'entreprise tutoyait son collègue ainsi que son supérieur sans hésitation, que ce supérieur soit un senior, un manager ou même un associé ou « partner ». C'était en effet la politique de l'entreprise. Plus que le tutoiement les rapports humains entre le manager et son stagiaire n'étaient pas marqué de supériorité ; nous discutions en effet sans retenue à la fois sur des domaines professionnels et sur des domaines privés. L'ambiance était agréable, amicale et les managers étaient très disponibles. [...]
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