Processus, évaluation d'entreprise, collecte d'informations, méthode d'évaluation, secteur d'activité de l'entreprise
La collecte d'informations est la base du processus, en effet si l'on passe à côté d'informations importantes l'évaluation sera biaisée puisque les éléments sur lesquels elle se base seront incomplets. L'évaluation n'est pas une science exacte, mais plus les informations sont diverses et précises, plus elle se rapprochera de la réelle valeur de l'entreprise.
[...] La correspondance entre la détermination du taux et la méthode choisie est la suivante. Figure 3 : Relations entre méthode et taux de rémunération des actifs Actif nécessaire à l'exploitation ANCCE Taux de rémunération des actifs choisis Modèle d'évaluation des actifs financiers (MEDAF) Cout moyen pondéré du capital CPNE VSB (CPMC) Cout moyen pondéré des capitaux investis dans la VSB Le MEDAF correspond globalement au taux sans risque + risque d'entreprise + risque du marché. Il donne le montant de rentabilité des actifs exigé par les actionnaires. [...]
[...] Les principaux points développés ci-dessus, sont relatifs à des éléments non quantifiables et donc la question de la prise en compte dans les calculs se pose. L'une des solutions envisageables serait d'appliquer une décote ou une surcote à la valeur trouvée de l'entreprise afin de tenir compte de toutes les informations disponibles. Mais de toute façon, comme énoncé précédemment, les éléments relevés au-dessus apparaîtront dans la négociation entre les acteurs et ils auront donc un impact sur le prix final de la société. [...]
[...] Principes de la méthode La logique de la rente du goodwill, permet d'évaluer les profits futurs dégagés grâce aux actifs présents au bilan. En résumé, il correspond à la différence entre la valeur financière, c'est-à-dire les profits futurs dégagés, et la valeur patrimoniale, c'est-à-dire la valeur basée sur le coût d'acquisition. Ainsi la valeur de l'entreprise va correspondre à la valeur déterminée par l'ANCC plus le goodwill, mais dans l'ANCC il faut enlever les éléments incorporels non identifiables qui seront évalués implicitement par le Goodwill. [...]
[...] Le dernier cas particulier concerne les écarts de conversion. Il y a deux possibilités, la première fait référence aux écarts de conversion actifs, qui représentent une perte latente de change à la clôture de l'exercice compte tenu du cours des monnaies. Dans ce cas, l'écart de conversion non compensé par une provision est un actif fictif. Deuxième possibilité, l'écart de conversion passif, dans ce cas il est question d'un gain de change à la clôture de l'exercice, qu'il faudra ajouter aux capitaux propres car ce gain latent n'a pas impacté le résultat en vertu du principe de prudence, qui prévoit que seuls les gains certains peuvent être comptabilisés. [...]
[...] Ainsi ils ont supposé que la distribution de dividende se reproduisait chaque année et pour un montant identique. Ceci s'apparente donc à une rente perpétuelle comme le montre la formule ci-dessous : Le dividende moyen versé peut correspondre à la moyenne des dividendes versés au cours des 3 ou 5 dernières années ou correspondre à une estimation future des revenus que l'entreprise versera à ses actionnaires. Le taux d'actualisation peut être difficile à estimer l'administration fiscale prenait auparavant un taux de il n'était pas adapté à toutes les entreprises. [...]
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