La dorure, art ancestral, consiste à recouvrir un bâti, un cadre ou toute surface d'un objet, avec de fines feuilles d'or. Ceci dans le but de donner l'illusion de l'or massif. La raison et le but de cette illusion en est toujours la rareté et le prix du matériau.
Il existe deux techniques de dorure : la dorure à la mixtion et la dorure à l'eau.
Ces deux techniques sont précédées par la même préparation :
Première étape, l'apprêtage :
Elle consiste à apprêter le bois avec un enduit constitué de colle de peau de lapin et de craie blanche (l'apprêt). Dix à douze couches sont nécessaires pour donner un aspect bien lisse, très important pour la dorure (...)
[...] Son aspect rouge ocre, est apprécié lorsqu'on veut gratter l'or pour donner une patine à la surface. (En restauration par exemple). La photo ci–contre montre les parties enduites de jaune et celles enduites d'assiette. Quatrième étape, la dorure : Voici l'étape la plus intéressante et la plus délicate : la pose de la feuille d'or. C'est à ce moment que deux techniques s'offrent à nous : La mixtion : la mixtion est la colle que l'on pose sur l'assiette. Il en existe deux sortes, de la mixtion à séchage de 3 heures ou de 12 heures. [...]
[...] (Région et éventuellement le département). La distance entre Strasbourg et . (Lieu de l'entreprise) est de 60 kilomètres, soit environ 50 minutes de trajet en voitures. L'entreprise dans laquelle j'ai passé mon stage a été crée et est dirigée par . (Nom et prénom du maître de stage), artisan doreur. Après avoir passé de longues études d'histoire de l'art (Présentation du maître de stage) (Nom et prénom du maître de stage) se réorienta vers un CAP de dorure à la feuille. [...]
[...] A la suite de son diplôme passé en alternance, dans une entreprise de dorure à Reims, elle fonde sa propre entreprise, à . (Lieu de l'entreprise) en 2004. Son secteur d'activité est essentiellement la restauration de cadres dorées, des chantiers pour les musées ou par les églises et quelques commandes, plus contemporaines, comme des enseignes PRESENTATION DE L'ENTREPRISE DE DORURE SITUATION GEOGRAPHIQUE Son lieu de travail se trouve dans une petite rue dans le centre historique de . (Lieu de l'entreprise) (Dessin ci-dessous). [...]
[...] Rappel : Le brunissage ne peut se faire que si l'on dorer à l'eau. Ci-contre, un détail de la plaquette réalisée, le brunissage souligne et fait ressortir le motif gravé. Autre détail, ci-contre, d'un brunissage celui-ci fait sur une restauration de cadre. BRUNISSAGE Ce stage court mais très intéressant stage fut une bonne initiation à la dorure sans toute fois aucune prétention à la maîtriser, puisqu'il s'agit bien d'un métier à part entière. J'ai pu découvrir grâce à la réalisation d'une plaquette et à la restauration d'un cadre toutes les étapes de la dorure, toutes très importantes s'il on veut un bon résultat final. [...]
[...] Ces deux techniques sont précédées par la même préparation : Première étape, l'apprêtage : Elle consiste à apprêter le bois avec un enduit constitué de colle de peau de lapin et de craie blanche (L'apprêt). Dix à douze couches sont nécessaires pour donner un aspect bien lisse, très important pour la dorure. Il existe deux techniques de dorure : La dorure à la mixtion et la dorure à l'eau. La dorure, art ancestral, consiste à recouvrir un bâti, un cadre ou toute surface d'un objet, avec de fines feuilles d'or. Ceci dans le but de donner l'illusion de l'or massif. [...]
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