Expert-comptable, comptabilité, entreprise, dossier client, procédure comptable, exactitude des comptes, liasse fiscale, obligation envers l'État, période fiscale, OEC Ordre des Experts-Comptables, gestion du dossier, fiche client, lettre de mission, obligations du cabinet, saisie comptable, pièces comptables, communication des documents, factures d'achats, factures de ventes, cahier de caisse, bons de livraison, journal de banque, provisions, saisie informatique, méthodologie, VMP valeurs mobilières de placement, emprunts, cycle des achats, stocks, immobilisations, TVA Taxe sur la valeur ajoutée, obligations fiscales
De nombreux entrepreneurs font le choix de recourir à un cabinet d'expertise-comptable. Face à une législation mouvante, des spécificités nouvelles et des techniques toujours plus pointilleuses, force est de constater que, de nos jours, il est difficile de tenir proprement une comptabilité sans l'assistance d'un praticien.
Avant de présenter les tâches accomplies au sein du cabinet, il est nécessaire pour le lecteur d'avoir une vision globale de son "processus de production" afin de pouvoir comprendre l'intérêt de ces dernières. Effectivement, aucune tâche de ce processus ne doit être négligée, aussi futile puisse-t-elle paraître, chaque instant doit faire l'objet de l'expression d'une attention particulière et d'une rigueur constante. Dans ce premier chapitre, il s'agira donc de mettre en relief le cheminement qui conduit au produit final, à savoir l'élaboration des états financiers et l'établissement de la liasse fiscale.
[...] Cette déclaration va regrouper les honoraires de toute profession, des comptables jusqu'aux avocats en passant par les commissaires aux comptes. Un certain nombre d'informations les concernant doit apparaître (leur nom, adresse, profession, date de facture, montant des honoraires hors taxes et TTC Le total TTC de ce tableau correspond alors au montant total de la DAS 2. d. Les ventes et clients L'examen de ce cycle ressemble beaucoup à celui des achats et des fournisseurs, mais dans le sens inverse. [...]
[...] Une distinction est également faite entre les prestations et les ventes de produits (activité de négoce), pour chacune de ces activités, ce qui permet de comprendre la composition du chiffre d'affaires. Cette utilisation du journal de caisse détaille le chiffre d'affaires (comptes de produits) et met en évidence la nature des revenus, les comptes de virements internes seront lettrés avec les écritures qui sont passées en contrepartie dans le journal de banque. La différence entre le solde initial et le solde final du journal correspond aux recettes perçues en espèces. [...]
[...] Ensuite sur ce chiffre d'affaires il faut séparer les opérations au taux normal et celles à taux réduit (ici toutes les opérations sont au taux normal). Il s'agit donc de déterminer la TVA collectée. Pour la TVA déductible, il faut prendre toutes les factures d'achats du mois. En cas de crédit de TVA du mois précédent non remboursé, il faut l'ajouter à la TVA déductible. Enfin il reste à calculer la différence entre la TVA collectée et déductible pour obtenir soit : Un crédit de TVA (TVA déductible > TVA collectée), pour lequel on peut demander un remboursement si il est suffisamment important. [...]
[...] Le comptable vérifie notamment que l'impossible, à savoir un solde créditeur du compte caisse, ne soit pas observé. Il ne peut sortir d'une caisse plus d'argent qu'il n'en rentre, au-delà de la réglementation comptable s'y afférent, il s'agit bien là de bon sens. Le collaborateur sera aussi vigilant si le solde débiteur est anormalement élevé, ou encore s'il y a eu des mouvements ou montants anormaux. Au dernier jour de l'exercice, l'inventaire physique de la caisse doit être fait, afin de déterminer le montant exact détenu. [...]
[...] et son montant pour que le compte de T.V.A. et son montant apparaissent automatiquement. Ce calcul automatique permet une vérification supplémentaire de l'exactitude des montants de T.A.V. b. Le journal de banque « Pour chaque compte bancaire dont elle est titulaire, l'entreprise doit utiliser une subdivision du compte banque 512. A fortiori, il est très fréquent qu'une entreprise dispose de comptes dans différents établissements financiers. Rappelons qu'aucune compensation ne peut être opérée entre les comptes à solde créditeur et les comptes à solde débiteur. [...]
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